Janvier 2020

Voeux du Centre Hospitalier

 

C’est devant un parterre bien fourni que Raphaël Lagarde, directeur du centre hospitalier présentait ses vœux, mercredi 8 janvier. On remarquait notamment la présence de Julie Senger, déléguée départementale de l’ARS, Pierre Nogrette, nouveau directeur du centre hospitalier de Cahors, André Mellinger, maire de Figeac, accompagné de quelques conseillers municipaux, Fouad Chérif directeur de la clinique Font-Redonde, le commandant Dorléans commandant la compagnie de gendarmerie de Figeac, Jean-Philippe Lemozit, président de la commission médicale d’établissement (CME), ainsi que de nombreux agents hospitaliers et des représentants des usagers.

"L’année 2019 a constitué une année forte pour le centre hospitalier, malgré des surcoûts liés à plusieurs paramètres dont les travaux en cours, précisait le directeur. Si 2018 avait permis de réaliser des aménagements importants visant à amorcer le projet immobilier et de restructuration de l’hôpital, 2019 a permis le démarrage des travaux, peu visibles comme les modifications de réseaux ou plus visibles comme la démolition de l’ancienne lingerie. Des aménagements ont été créés avec la création d’un poste d’infirmière d’accueil et d’orientation aux urgences, un service où les passages ont augmenté de 5 %. Mais par-delà le travail en interne, l’hôpital est le spectateur attentif des évolutions du secteur ambulatoire, avec l’inauguration de la maison de santé pluri-professionnelle de Figeac qui, avec le centre de santé au nord de la commune, traduit le rassemblement nécessaire des forces sanitaires de la ville face aux enjeux de demain.

"Que les problématiques deviennent des opportunités"
Nos liens sont également très forts avec la clinique de Font Redonde ou l’institut Camille Miret. À l’heure où nous nous engageons dans la préparation de la future certification par la Haute autorité de santé, je sais maintenant que les professionnels de Figeac ont la volonté de faire collectivement que les problématiques deviennent des opportunités pour la population".

Pour Jean-Philippe Lemozit, "le projet architectural, qui sera effectif en 2021, était le passage obligé pour offrir l’attractivité indispensable à notre établissement. Nous attendons la certification avec un réel espoir". Prenant à son tour la parole, André Mellinger soulignait l’importance de la future dimension de l’hôpital, avec de nouvelles coopérations : "Nous devons avoir un autre regard sur notre façon d’être au service de la population, expliquait-il. Pour certains de nos concitoyens, la santé est un vrai souci. L’hôpital s’ouvre, il s’adapte, la MSP s’adapte aussi dans un même esprit de coopération. De nouvelles passerelles seront encore lancées dans les années qui viennent entre tous les organismes médicaux. Et tout ça, dans un monde qui bouge et des patients de plus en plus exigeants. Mais n’oublions jamais que tout cela repose sur des femmes et des hommes, et le travail qu’ils réalisent". Julie Senger, déléguée départementale de l’ARS, saluait à son tour l’engagement et le travail de tout le personnel : "L’hôpital public est au cœur de nos préoccupations. Dans un axe de travail, je retiens trois mots qui me semblent essentiels : conscience, collectif et usagers".

Prenant à son tour la parole, André Mellinger soulignait l’importance de la future dimension de l’hôpital, avec de nouvelles coopérations : "Nous devons avoir un autre regard sur notre façon d’être au service de la population, expliquait-il. Pour certains de nos concitoyens, la santé est un vrai souci. L’hôpital s’ouvre, il s’adapte, la MSP s’adapte aussi dans un même esprit de coopération. De nouvelles passerelles seront encore lancées dans les années qui viennent entre tous les organismes médicaux. Et tout ça, dans un monde qui bouge et des patients de plus en plus exigeants. Mais n’oublions jamais que tout cela repose sur des femmes et des hommes, et le travail qu’ils réalisent".

Julie Senger, déléguée départementale de l’ARS, saluait à son tour l’engagement et le travail de tout le personnel : "L’hôpital public est au cœur de nos préoccupations. Dans un axe de travail, je retiens trois mots qui me semblent essentiels : conscience, collectif et usagers.

Article de la Dépêche du Midi